1843-50

"On remarquera que, dans tous ces �crits, et notamment dans ce dernier, je ne me qualifie jamais de social-d�mocrate, mais de communiste... Pour Marx, comme pour moi, il est donc absolument impossible d'employer une expression aussi �lastique pour d�signer notre conception propre.." F. Engels, 1894.

Une publication effectuée en collaboration avec la biblioth�que de sciences sociales de l'Universit� de Qu�bec.


Le parti de classe

K. Marx - F. Engels

Vers la guerre et la Commune

Le parti allemand et la Commune


Les discours et les articles de Bebel nous font un tr�s grand plaisir [1].

Messieurs, quelque regrettables ou insens�s ‑ comme on l'a souffl� hier dans cette Chambre ‑ que soient les efforts de la Commune, soyez persuad�s que tout le prol�tariat europ�en et tous les hommes �pris de libert� et d'ind�pendance ont le regard tourn� vers Paris [2]. (Vive hilarit�.) Messieurs, si Paris est momentan�ment �cras�, je vous rappelle alors que la lutte de Paris n'aura �t� qu'un petit accrochage d'avant-poste, que la grande bataille nous attend encore en Europe, et que le cri de guerre du prol�tariat parisien : � Guerre aux palais, paix dans les chaumi�res, mort � la mis�re et � l'oisivet� ! �, deviendra le cri de ralliement de tout le prol�tariat d'Europe. (Hilarit� [3].)


Notes

[1] Cf. Engels � Wilhelm Liebknecht, 24 mai 1871.

[2] Extrait du discours de Bebel au Reichstag, 5 mai 1871.

[3] Bebel poursuit en d�non�ant avec force l'annexion de l'Alsace-Lorraine et la politique imp�rialiste de la Prusse en g�n�ral.
La Commune de Paris est consid�r�e sous l'angle de l'Internationale et de l'activit� de Marx-Engels dans l'ouvrage d�j� cit� sur La Commune de 1871, 10/18. Nous y renvoyons le lecteur.


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